Carnaval de Nice : 151 ans déjà !

Du 17 février au 3 mars 2024, le carnaval de la @VilledeNice se déroulera sur le thème de la Pop Culture ! 🎭✨🎶

Un rendez-vous incontournable pour tous les amateurs de festivités et d’ambiance carnavalesque. 😍​🤗​

Cet événement promet d’être une fois de plus l’un des plus vibrants de l’année. Notre équipe est impatiente d’y participer et vous ? 🥳🎉

A savoir : Le Carnaval de Nice, premier Carnaval de France à caractère international, est la plus importante manifestation de la Côte d’Azur en hiver. Deux semaines de festivités animent la ville de Nice – « Corsi carnavalesques » de jour et de nuit, et élégantes « Batailles de Fleurs » sont au programme de cet événement incontournable. De nombreux chars décorés et animés sous le thème de la saison défilent au rythme des troupes d’art de rue et des groupes musicaux venant d’horizons divers (du monde entier), le tout dans une ambiance colorée, festive et familiale.

Pour accéder au programme complet rendez vous ici https://www.nicecarnaval.com/edition-2024/programme-officiel/

Mais au fait comment se déroule la création d’un Char de Carnaval ? Résumé ici en provenance du site officiel de la ville de Nice et de son carnaval :

Sculpture

Char ou grosses têtes prennent vie lorsque le sculpteur modèle les visages avec de l’argile. Ensuite, il fabrique le moule de plâtre que le carnavalier recouvre de plusieurs couches de papier découpés en petits morceaux et encollés d’une mixtion de farine et d’eau chaude, pour donner le modèle définitif, en carton-pâte, qu’il faudra maintenant peindre et habiller.La tête du Roi et de ses sujets sont aussi confectionnés avec du polystyrène et de la mousse par les sculpteurs. Les grosses têtes, autrefois en carton-pâte et construites à partir de moules en argile, sont de nos jours confectionnées en résine polyester, mais les carnavaliers restent fidèles aux usages « traditionnels ».

Armure métallique

Les artisans utilisent du fer lisse qui constitue l’armature métallique, le « squelette » du char. Celle-ci est travaillée à l’aide d’un outil communément qualifié de « griffe » par des ferronniers, dits « serruriers ». Le fer est travaillé avec la « griffe », en suivant les formes travaillées, dessinées à la craie au sol.

Couleurs vives et fantaisistes

Étape appelée du « pastissage » ou « tapissage », les sculptures en polystyrène sont recouvertes par l’artisan de couches de papier et de papier kraft collés. Ensuite une sous-couche de peinture blanche est appliquée, au rouleau, au petit rouleau, au pinceau ou à l’aérographe.

Habillage

Les parties non sculptées, en cerclage métallique, sont recouvertes du déguisement du char. Les costumes des personnages du char sont créés par une costumière, assistée d’une ou de plusieurs couturières. Les costumes sont constitués de tissu, fixé au char à l’aide d’une bande velcro. Il fallait 80 mètres de tissu pour confectionner le costume du Roi en 1965, il en faut aujourd’hui 200 !

Montage

Les sculptures sont composées de plusieurs pièces assemblées sur la plateforme du char grâce à un système de treuil et de fixation. Pour les chars les plus hauts comme celui du roi, une grue permet de positionner la tête du roi, assemblée en extérieur.

Quelques uns des chars que vous verrez en avant première !

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